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2016Y voir d’un œil, très nettement ça manque de perspective… Février 2016
Des éléments-Bêta
En préambule, une combinaison d’ostéocytes se déduisant de quelles que parts. L’entremise s’éprouve en contenant, réceptacle d’évocations révélatrices. Pivote l’artifice, l’acolyte de temps à autres se tient main à l’utérus.
Le têtard s’ambitionne loupiot et met au monde une mère. Elle est méditerranéenne ou atlantique, parfois bi. Par tornades, rincée, elle se révèle mère morte. Couramment Ventre suit Mère, le cailloutis balbutie sur le bas-côté.
Se déroule l’enfant naît, soutenu, incliné, affiché, chamboulé, affecté, le bébé est révélé. De concert et des yeux il est brossé. Il est L’Enfant de conceptions disparates.
Un marmot se mesure à la compagnie de dinosaures affectueux et carnivores. Se devine bêtement un rase-mottes. La flagrance de cosse s’élève en Tour de Babel. L’Enfant obscurément le prévoit : le soulèvement est vain. Il s’aménage sous les mains d’autres occupés à son boulet bêta.
Des chatouillements de pupilles congédiés, les naseaux soufflés d’éléments-Bêta. Se surprendre un au milieu d’autres, ce sont les aléas. Les allers vers l’incomplétude, imparfaite empathie. Résistances à rebours à l’encontre des je te connais strictement avec ses hauts le cœur.
Surgit alors une horde d’éléments-Bêta. L’humain est receveur, il s’est organisé par surdité, ventilation, équilibre. Son enfance fait rappel.
Quelques porte-à-faux, remous, décret, rivent son clou au dégrisement du rejeton tout intérieur. L’heure de la marée vibre en vague à l’âme.
S’y entremêlent les ponctuations. Ces sonates de déplaisir altéré, furent hébergées d’un cil de dinosaure. Les catastrophes endossées ne font pas trépas.
Un bêta parmi d’autres se tamise. Son facteur Alpha s’inscrit : être soi plus d’autres inconnus, unifie.
Le lien du mois
Partir dîner chez Guy et Anne-Marie consiste à fermer notre porte et faire tinter celle qui est à notre gauche ! Guy est documentaliste, cinéaste et notre voisin…
Il a les yeux rieurs de celui qui découvre encore et toujours de l’humanité à mettre en mouvements, en paroles. Là, une rencontre avec Plantu et pourquoi ça lui vient…
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Vos retours sur la série « À perpétuité soit tel quel !«
J’ai regardé vos textes et photos, il me faut faire un effort pour cheminer entre les mots et les images, pas facile de « concevoir » votre chemin…
J’ai apprécié votre présentation me concernant, étonné que la photo des moulinets de 1978, revue en 2015, se retrouve là, au bel endroit.Bien amicalement, John B.
J’avoue qu’une fois encore, je suis incroyablement séduit par ton travail d’une puissance et d’une poésie exceptionnelle.
Ton texte accompagne ton univers créatif photographique remarquablement. J’adhère progressivement au texte que j’avais dans le passé du mal à comprendre mais j’en saisis au fil du temps la puissance et la musicalité.
Nous avions ensemble un soir parlé de « casser les codes » en matière de création artistique et chez toi, cela prend tout son sens, ce que je ne parviens que très progressivement à faire en sculpture.Bravo! Tu es une magnifique artiste.
Thierry
Bravo pour le reportage photos qui montre le Japon sous des côtés inattendus. Superbe!
Une très bonne année à vous aussi, Laurence et Olivier
Je trouve les photos sont très intéressantes. Pas conventionnelles du tout et pourtant c’est un mélange d’harmonie et toujours d’un petit quelque chose qui dérange….
Famille MESA-MARIN
Merci vraiment de tout coeur de ton message, de tes nouvelles et de tes photos! Je me suis vraiment régalée en me promenant sur ton site et en regardant ce qui avait attiré ton regard (avec les deux yeux pour avoir la perspective.. !!) au Japon, ces détails que toi tu as perçu, cette richesse et cette diversité, cette ouverture de l’esprit, du coeur , du corps que les photos suggèrent et auxquelles elles invitent.
J’ai savouré aussi les paroles qui accompagnaient les photos, comme une poésie, un rêve, une déambulation entre des idées….Merci….J’ai goûté tout cela au même moment avec un petit cadeau de ma fille, Le petit traité de l’Abandon d’ Alexandre Jollien. et j’ai trouvé cela particulièrement opportun et je garderais une belle émotion de l’un et de l’autre, de l’un avec l’autre…
Je me souviens aussi avec chaleur de notre discussion et de nos rencontres mêlant à la fois aussi dans un brassage sans fin des paroles et des mots de l’une et de l’autre sur nos vies, hauts, bas, difficultés, joies et dans un lieu si dépaysant, si différent de notre quotidien …
Véronique GUERIN