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2015Autant que vouloir se peut , avril 2015
Le mois de mars achevé sans parlure.
Douter surtout, se fendre de mutisme.
Profusion d’il suffit, c’est pourtant simple !
Gauchir attendu que… sans vacillation.
Equarrissage au karcher, flamme de cendres.
Bain moussant : elle est con pliquée et lui, con plètement con !
Embrouillée de quoi, allez savoir sans moi et ma crème de jour
Assidument et toujours remisée au placard pour un enchantement inexploré.
Est-il si con celui qui n’en a pas parce qu’il en a un ?
Ne pas corner, soulever mes rires, employé à me comprendre ?
Le raz de marée éminent, l’enfance en l’adulte baguenaude.
Rebroussant chemin vers la caillasse. Isolée avec d’autres, je persiste et signe.
Vos retour sur la série de février Rire de Peur
Bonjour Noëlle,
Quelles grâces sont ces photos qui favorisent l’évasion et oxygènent l’esprit.
J’aurais dû m’y pencher, ce portefolio est une cure ! Pour la beauté et la poésie un grand merci.
Je t’embrasse.
Dany