26
2015Rire de peur…
Sa majesté le roi Louis XIV interdit toute représentation souveraine.
De sa pomme fut croquée une poire, première caricature à la française.
Du ballet ! Six mois d’emprisonnement.
Le président Coluche tonna sur tous les toits :
« Je me presse de rire de tout, de peur d’être obligé d’en pleurer».
Avec eux, non dupe le clown Charb ; le rire : ébranlement.
Jusque-là, ça ira, ça ira, ça ira….
Une première dissension ou était-ce la seconde ?
Les railleries retournées ont parfois une incidence fumeuse, la mort du rire disparait.
Une seconde méprise ou était-ce la première ?
Les gausseries repoussées ont parfois une influence vaporeuse, l’inhibition heurte l’expression.
Si le rire ou les émotions plutôt que vibration, eux ou nous. Si système binaire alors : PAN !
En écho, peut-être et malgré tout, la chute de l’ambivalence cloisonnée.
Obligations qualificatives délaissées au bénéfice d’un sens critique apaisé.
Vos retours sur la série Marcher sur des oeufs
Merci pour ce moment de poésie. Qu’il est doux d’entendre des mots pleins d’images pour parler de ces moments indicibles il faut des coquilles souples prêtes à s’adapter mais bien bien solides.Je t’embrasseCatherine